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Monday, July 16, 2012

Télécharger le fichier PDF Les 101 nanars: Une anthologie du cinéma affligeant (mais hilarant), by François Forestier

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Les 101 nanars: Une anthologie du cinéma affligeant (mais hilarant), by François Forestier

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Les 101 nanars: Une anthologie du cinéma affligeant (mais hilarant), by François Forestier


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Détails sur le produit

Broché: 384 pages

Editeur : Denoël (15 avril 2016)

Collection : GRAND PUBLIC

Langue : Français

ISBN-10: 2207131904

ISBN-13: 978-2207131909

Dimensions du produit:

20,5 x 2,5 x 14 cm

Moyenne des commentaires client :

2.4 étoiles sur 5

12 commentaires client

Classement des meilleures ventes d'Amazon:

214.634 en Livres (Voir les 100 premiers en Livres)

Achetée pour le compte de ma fille qui a beaucoup aimé.

Ce bouquin est malsain, pénible, répétitif et tient de la mauvaise cinéphagie, il a dû être écrit pendant une crise d' aérophagie. Forestier est en plus pas très courageux, il s' en prend à «Angélique», «Sissi», «Sheena», «Rocky IV», «Golden Child», «La mouche II», «Fair Game», «Tiny Town», «Glenn or Glenda»... des films dont tout le monde sait qu' ils sont nuls mais qu' il adore revoir pour se marrer au trente sixième degré ; t' as que ça à foutre Forestier, à perdre ton temps à voir des films pathétiques ! Les films pour se marrer et au premier degré, duchnock, ça existe ! «Allez France !», au lieu de nous ennuyer avec «Ah! Les Belles Bacchantes!» que j' aime bien d' ailleurs, et puis «Alexandre le bienheureux» ou «Les malheurs d'Alfred» pour rester en France. Parce qu' à force de vouloir se marrer de tout, de rien et n' importe comment, on risque de ne pas remarquer qu' il y a différentes formes d' humour ; celui de Malle/Modiano avec la réplique «Police allemande» dit avec l' accent du Sud-ouest. Mais Forestier est atteint d' une maladie qui s' appelle la nanardinite, il dit des conneries pour dire des conneries. Faut pas tout détailler, mais refaire le coup de «Blow-up» (1967) d' Antonioni, c' est lourdasse ; il baragouine un lieu commun sur les filles anglaises qui sont moches, que le groupe le plus débile des sixties sont les Yardbirds, merci pour Jeff Beck et Jimmy Page, et, faut te rappeler duchnock que sans les Yardbirds, pas de Led Zeppelin, pas d' Aerosmith, pas de Motörhead, pas de Guns N' Roses (sans le chanteur, ce serait impeccable) ou pas de New York Dolls (il faut avouer, sans Todd Rundgren, ça vaut pas grand chose). Et sans le film d' Antonioni, pas de «Conversation Secrète», pas d' «À cause d' un assassinat» ou pas de «Les trois jours du condor» ; ça t' ennuie duchnock, mais le bradypnéique anticipait.Ce qui est le plus accablant, ce sont les jeux de mots tellement consternants qu' il faut en faire une petite liste non exhaustive :- «Homère d' alors», page 58. Il ose...- «Il est vrai qu' il ne faut jamais lâcher le faucon avant d' avoir vu le vrai», page 76. Il ose encore...- «Jeanne Crain (qui mérite son nom)», page 79. «Jeanne Ne Craint Plus», «Jeanne Qui Craint De Nouveau», «Jeanne écoute les violons (les Crain-Crain)», tout ça page 80 avec des majuscules tellement il est fier. Il ose toujours...- «Tout le film a été tourné dans le Middlesex», page 87 ; en rapport avec des scènes paraît-il osées (ben oui) de «Quand les dinosaures dominaient le monde». Il ose encore et toujours...- «Le sixième incontinent», page 100. Il ose...- «Cheval tire à ta mère», page 113. Il ose encore...- «On sent bien que la boutade, là , monte au nez», page 132. Il ose encore et toujours...- «Ils avaient le feu occulte», page 138. Il ose...- «Il faut se méfier du Bolkan qui dort», page 180 ; à propos de la très belle Florinda Bolkan pour ceux qui n' auraient pas compris. Eh oui, il ose encore...- «Ce n' est pas laid (ce Népalais, excusez-moi, pas pu résister)», page 208. Il ose encore et toujours...- «On applaudit des deux nains», page 232. Il ose...- «La vue de Marais est basse (Marais basse, donc)», page 266 ; à propos de Jean Marais pour ceux qui n' auraient pas compris. Il ose encore...- «Après Tibère, le printemps», page 308. Il ose encore et toujours...- «Horace, ô désespoir ! (Je sais, c' est facile, mais vous me connaissez)», page 312 ; eh oui, malheureusement on te connaît. Il ose encore et toujours...- «Mahler n' arrive jamais seul», page 309. «Mahler est bon», page 315. Il ose...- «Franchement, cette fille, c' est Inca», page 356. Il ose encore...- «Et mon culte, c' est du poulet ?», page 359. Il osera encore et toujours, son cas est désespéré.Faut-il passer sur l' erreur chronologique à la page 157 pour Rex Harrisson dans «Cléopâtre» tourné en 1963 où Forestier émet que l' acteur anglais serait encore mal remis de «Docteur Dolittle» tourné en 1967 ? Une autre pour «Fair Game» avec Cindy Crawford où il dit pourquoi n' avoir pas pensé à Nadine Morano (?), on est en 1995 ; Nadine et sa jactance étaient déjà connues ? À propos de «Golgotha» de Julien Duvivier du plagiat d' Henri Jeanson pour «Gabin s' en lave les pognes» à la page 307 ; le même Gabin surnommait Edwige Feuillère m'dame Pilate, ça serait-y pas plutôt m'dame Ponce ? Faut-il passer aussi sur la description physique des actrices bien en chair des années 50 où les termes jambon, saindoux ou gélatine sont souvent employés ; t' as vu ta gueule duchnock, fais comme moi, cache-la ! Et Virginia Leith, Virginie Leitch qu' il écrit à la page 200, serait une inconnue absolue : «Les inconnus* dans la ville» (1955) et «Baiser mortel» (1956), ça ne te dit rien, duchnock ! C' est de la chipoterie, peut-être, mais il est critique spécialisé depuis 50 ans ; si t' es un alcoolo duchnock, t' es excusé !Par contre, félicitations aux Éditions Denoël ; belle présentation avec des petites photos, belle calligraphie, pas de coquille.Cependant, Denoël devrait s' abstenir de publier un duchnock !*Qu' est ce qu' on se marre...

Que chacun trouve qu'un film est mauvais, soit.... Mais critiquer des œuvres juste parce qu'elles ne plaisent pas à l'auteur sans pour autant que le film soit mauvais, il ne faut pas exagérer.Si vous adorez les nanars, essayez d'obtenir cet ouvrage : Nanarland - Le livre des mauvais films sympathiques - Épisode 1

Cet affligeant ouvrage pâtit, en plus de sa médiocrité, d'une écriture ressemblant à un rire de hyène.Typique du livre pouvant être rédigé par n'importe qui. Une spéculation commerciale anthologique par un journaliste trop payé. A la imite, peut servir de Sopalin. A la limite.

Un ensemble très intéressants de critiques des plus grands navets. Les films sont un peu des classiques, mais très bons

Il y a une chose qui est sûr c'est que l'auteur de ce livre n'est surement pas un amoureux du cinéma. Mauvaise foi (faut bien attiser les haines pour vendre ces livres quitte à raconter n'importe quoi) à toutes les pages et message "leçons de morale" politico-gauchiste nauséabond vraiment pénible à la longue (ah oui c'est du second degré, ouè... ouè... bien sûr... prends nous pour des c...!!!).Forestier est surtout un cinéphile médiocre car il ne voit que la forme et non le fond.Car ce qui prévaut surtout dans ce genre de films c'est son ambiance et son histoire (un ex : L'AGE DE CRISTAL décors kitsch et SFX qui ont mal vieilli mais par-contre l'histoire est passionnante, pleinement d'actualité dopé par un final anthologique).Il me fait un peu pitié car en fait il passe à coté de la quintessence du cinéma d'artisan (LA PLANETE DES VAMPIRES, ZARDOZ ... Des nanars?!! WTF!!).Un snob qui n'y connait rien. Malheureusement y en a des millions comme lui...

Lisez les critiques de Nathan MALENDE, Valentin Poltau ou le chat bleue qui ont dit exactement ce que je pense. Non seulement l'auteur n'aime pas le cinéma, mais il ne le comprend pas et ne le connais pas. Forestier n'est qu'un bouffon pas drôle pour bourgeois incultes allergiques à l'art alternatif. Moi certaines peintures expressionnistes je ne les comprend pas mais je n'en écrit pas un livre.

Un livre par endroits intéressant, avec effectivement de vrais nanars (les films d'Ed Wood par exemple) mais aussi avec des films qui n'ont tout simplement pas leur place dans un tel ouvrage car ce ne sont pas des nanars (les nanars sont des films qui sont involontairement comiques de par leurs défauts de réalisation). Beaucoup de choix sont très discutables : les films d'Antonioni, de Bunuel, d'Alain Resnais sont massacrés sans aucune nuance, Dario Argento est balayé d'un revers de la main avec une condescendance consternante, la mauvaise foi est souvent présente, l'importance de certains films (comme "Easy rider" ou "La grande bouffe", dont l'impact est totalement minimisé) n'est pas soulignée, en quoi "Pas de printemps pour Marnie" (Hitchcock) est-il un film "affligeant" ?... Alors que l'idée serait de donner envie de voir ces films pleins d'imperfections (voire pour certains tellement ridicules qu'ils en deviennent cultes) en les présentant sous un jour clément, on a plutôt envie de les fuir absolument en lisant certaines chroniques. Bref, à éviter...

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